Date de sortie : 2002
Genre : Jeu de tir / FPS
Version: PAL / EUR
Fiabilité Excellente
Cette cote a été validée par
@commode
Stock limité
Nightfire sur GameCube te met dans la peau de 007 dans une campagne solo dense et des missions variées. Tir, gadgets et infiltration se mêlent à des décors inspirés des films.
La prise en main est immédiate et l'ambiance Bond réussit à garder le joueur engagé.
Pourquoi un VoxScore de 3.8 /5
Le gameplay repose sur un tir nerveux et un arsenal riche, avec gadgets qui apportent des options tactiques. Les niveaux offrent de la variété entre assaut frontal et discrétion, mais l'IA et les scripts paraissent datés parfois prévisibles.
Techniquement le moteur tient la route pour l'époque, mais textures, animations et quelques bugs rappellent son âge.
Le verdict!
Un bon choix si tu aimes les FPS Bond classiques et les campagnes orientées mission et gadget. À privilégier pour les fans nostalgiques et les curieux du rétro ; les joueurs exigeant des mécaniques modernes risquent d'être déçus.
Marchand | Prix | Livraison | Total |
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Yacine7714
Je me souviens avoir demandé une GameCube à mon père pour Noël 2002, mais pas n’importe laquelle : je voulais celle avec Zelda: The Wind Waker. J’y avais joué sur une borne d’essai dans un Carrefour, et j’étais tombé amoureux du jeu.
Ni une ni deux, je commence ma stratégie du « stp papa, j’aurai que des bonnes notes à l’école », etc.
Et là, arrive le soir du 24 décembre.... Lire la suite
Vous voyez, quand on fait une mission solo dans ce jeu et qu’on meurt, y’a du sang qui coule sur l’écran. Eh bien, ça m’a traumatisé. Je refusais d’y jouer, j’avais trop peur de mourir dans le jeu. Et mon père, derrière moi, hilare, pendant que je courais me planquer derrière le canapé pour me cacher.
D’ailleurs, je soupçonne qu’il ait fait exprès d’acheter ce pack. Je l’ai grillé plusieurs fois en me levant : il était là, manette en main, à jouer en cachette…
Il m’a fallu plus de six mois pour réussir à jouer sans détourner les yeux de peur. Mais petit à petit, j’ai commencé à l’apprécier, surtout en mode multijoueur : c’était le feu ! Le bazooka à tête chercheuse qui faisait rager tous tes potes parce qu’il était trop cheaté, le pistolet doré qui te tuait en un seul tir, et mon niveau préféré : le téléphérique de neige, où tu pouvais presque camper tout le match.
Bref, j’y ai passé des après-midis entiers à jouer avec mes potes, mais surtout avec mon père. Et même s’il n’est plus parmi nous aujourd’hui, revoir ce jeu me rappelle instantanément mes meilleurs souvenirs avec lui.
Didi
Commode