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Castlevania II: Simon's Quest sur Nes
Date de sortie : 1990
Genre : Plateforme / Metroidvania
Version: PAL / B / FRA
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Suite directe du premier Castlevania, Simon's Quest mélange action, exploration et éléments RPG. Le joueur explore un monde non linéaire, accomplit quêtes, obtient objets et armes.
L'atmosphère gothique séduit, mais les énigmes cryptiques et la traduction bancale gênent la progression.
Pourquoi un VoxScore de 3.3 /5
Le jeu innove par son monde ouvert et ses mécaniques d'exploration, offrant une progression non linéaire et un sentiment de découverte. Le gameplay reste simple mais efficace, avec des combats basiques et peu d'ennemis variés.
Les défauts incluent des énigmes peu claires, une traduction approximative et des passages frustrants liés au cycle jour/nuit.
Le verdict!
Ambitieux et historique, Simon's Quest plaira aux fans de jeux rétro et d'exploration qui acceptent la frustration et la recherche indépendante. Les joueurs modernes préférant guidage clair risquent d'être découragés; c'est une curiosité à jouer pour son ambiance et son rôle dans l'évolution des Metroidvania.
| Marchand | Prix | Livraison | Total |
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Marcmps
Le système de jour/nuit est sympa même si la nuit rend les monstres plus coriaces et qu'elle semble tomber toujours au mauvais moment (les gens s'enferment chez eux pour se protéger des zombies qui hantent les ruelles nous empêchant de glaner des informations ou d'acheter de l'équipement).
Certaines énigmes ne sont pas forcément logiques (il faut prier à un moment, et cela consiste à rester accroupi quelques secondes avec l'objet adéquat) et surtout, l'équipe de développement a trouvé sans doute amusant le fait de semer les cryptes et donjons de trous invisibles. Il n'y a qu'un seul moyen de voir si le sol est réel ou pas, et c'est (hormis l'apprentissage cm par cm de la carte) de balancer en boucle des fioles d'eau bénite pour voir celles qui se brisent et celles qui traversent la pierre ^^' Cela casse un peu le rythme du jeu, il faut l'avouer, on a vu plus fun.
Les BOSSes sont par contre ridiculement faciles à éliminer: la Mort qui était un cauchemar dans le précédent opus devient un ennemi esquivable sans effort pour aller chercher l'objet de quête dans la pièce suivante... Mais vu qu'on passe beaucoup de temps à chercher son chemin dans le monde assez vaste tout en essayant de ne pas mourir pour tout recommencer, on peut prendre ça comme un petit bonus qui pour ma part ne m'a pas dérangé :)
On retrouvera d'ailleurs les gros points de l'histoire dans la seconde partie de Symphony of the night avec les restes du comte vampire à récupérer, la malédiction en moins.